Ils étaient enfants au moment du génocide des Tutsis de 1994 au Rwanda. Ils ont la trentaine maintenant et luttent avec leurs souvenirs d’enfance constitués de désolation et de violence. Pour porter le poids du passé et penser un avenir il faut libérer la parole. Kumva raconte la nécessité de se construire une mémoire à soi afin de redonner chair aux morts et de jeter un pont entre le passé et le présent.